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Les toitures de véranda sous toutes ses formes ...

 

 

 

Les toits de vérandas

 

En verre, opaque, en polycarbonate, en tuile ou en ardoise, le toit d’une véranda peut revêtir différents matériaux, ayant chacun leurs avantages, leurs contraintes d’usage et leurs failles. Il faut aussi savoir choisir sa toiture en fonction de sa région d’habitation, climat oblige. Tout est aussi question de goût et d’envie. Un autre concept de toiture commence à se démarquer, le toit photovoltaïque. Confort, économie et production d’énergie, le photovoltaïque a vraiment sa raison d’être chez les particuliers.

    

   

 

 

Les toits de vérandas en verre

Verre, toit opaque, polycarbonate, toiture classique ou photovoltaïque, le toit de votre véranda peut arborer différents costumes. Pensez aussi en fonction d’un élément clé : le type de la véranda désirée. Et pour cause, la véranda à profil porteur pourra supporter un toit lourd alors que la véranda à profil non porteur ne le pourra pas en raison de la légèreté de son ossature.

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Le toit en verre possède des qualités certaines. La première d’entre elles, son pouvoir esthétique en raison de la luminosité qu’il crée sans oublier la sensation de bien-être et de sérénité en levant les yeux au ciel. Le verre est également une bonne source d’isolation si votre toiture est correctement posée. Néanmoins, le verre a aussi son lot de contraintes : sa fragilité (bris de glace à envisager) et nons recommandont d’investir dans du verre épais et feuilleté, sa tendance à trop réfléchir le soleil , son coût et sa lourdeur (la structure le soutenant doit être très solide).

 

 

 

 

 

 

 

 

Poser des plaques opaques sur un toit de véranda

Le toit d’une véranda est souvent totalement opaque. Cet effet est rendu possible grâce à des plaques opaques. Leurs qualités ? Légèreté donc une facilité de pose, très bonne isolation thermique et bonne protection contre le soleil. Leurs défauts ? Manque de luminosité en raison de son opacité et manque de dimension esthétique en raison du peu de teintes disponibles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les toits en plastique 

Le toit en polycarbonate, traduisez en plastique, est le toit le plus couramment adopté pour couvrir les murs et le sol d’une véranda. Les vertus du polycarbonate sont notables : matériau léger, résistant aux dommages collatéraux de l'effet de serre, facile à poser, bon isolant thermique et facile à manipuler.

 

Les tois en tuiles 

Les vérandas aux toits parés de tuiles ou d’ardoise restent très monnaie courante et donnent un charme tout particulier à un tel endroit. Une toiture de véranda vous assurera solidité, étanchéité, résistance, dimension décorative ou encore vertus ignifuges, la tuile est un matériau de choix dans le parement d’un toit de véranda. En terre cuite,  plate ou encore mécanique, la toiture toute de tuile vêtue reste dans la tradition. Les tuiles en ardoise sont aussi un très bon choix : résistantes, étanches, inaltérables, déclinées sous des teintes très décoratives, les tuiles en ardoise possèdent moult qualités.

 

Un toit de véranda en panneaux solaires

Pourquoi pas ? Seriez-vous tenté d’installer une toiture photovoltaïque tout en produisant de l'électricité? Encore rare, la véranda avec panneaux photovoltaïques dans la toiture gagne à être connue. Les panneaux photovoltaïques vous apportent des avantages non négligeables parmi lesquels le confort grâce à la plus grande isolation thermique et acoustique ou encore une dimension esthétique si vous optez pour des panneaux transparents.
Autres avantages plus conséquents : le fait que vous puissiez produire de l’électricité en usant de l’énergie inépuisable du soleil, le tout sans aucune pollution, électricité qu’EDF vous propose de vous racheter et ce à un tarif de revente très intéressant : en moyenne, 60€/KW, soit 1700 et 2000 € par an ! 
Vous alliez écocitoyenneté et rentabilité sans oublier que vous pouvez être aidé dans cet investissement qui, ne l’oublions pas, n’en reste pas moins onéreux. Faire l’achat de panneaux photovoltaïques participe à la meilleure gestion de l’énergie et à son économie et, à ce titre, vous pouvez bénéficier du fameux crédit d’impôt à peu près équivalent à une baisse de 10 000 € environ.

Pour en savoir plus sur les conditions liées au crédit d’impôt, n’hésitez pas à consulter l’article dédié aux normes et prix du dossier véranda. Concrètement, il faut compter environ 20 000 € pour une véranda de 20 m², auxquels vous ajoutez 20 000 € supplémentaires pour l’achat des panneaux solaires, soit un investissement de 40 000 €. 
Pour une installation optimale, voici quelques règles d’or : 15 et 45°C de pente pour le toit, une orientation sud ou bien ouest/est, un grand nombre de panneaux solaires, une puissance électrique n’excédant pas 3kw/h ou encore une taille de véranda adaptée pour la meilleure rentabilité possible.

Pour obtenir encore plus de satisfaction en termes d’isolation thermique, je vous conseille d’intégrer une pellicule de polycarbonate dans la toiture.
Faire le choix de panneaux transparents ou semi-transparents ne doit pas vous faire oublier la force productive du matériau que vous préférez tout en gardant à l’esprit qu’une surface vitrée sera moins productive qu’une surface opaque. 

 

Les plaques de couverture Microbilles

 

Les plaques de couverture Microbilles, une solution miracle ? Oui en quelque sorte, dans la mesure où ce produit résout le dilemme classique entre toiture vitrée trop lumineuse et panneaux composites trop opaques. La solution Microbilles résulte d’une recherche technologique menée de longue date, et qui rencontre depuis des années un franc succès grâce à ses nombreux avantages : forte protection solaire d’été (près de 70% du rayonnement solaire infrarouge est rejeté), excellente isolation en hiver (limitation sensible des déperditions caloriques), luminosité atténuée grâce à la translucidité du matériau. Les plaques isolantes Microbilles apportent de plus une réduction sensible de la transmission acoustique grâce à un isolant souple en polyéthylène intercalé dans la structure composite des panneaux.

Les plaques Microbilles sont composées d’un sandwich de matériaux très performants, composé de feuilles de polycarbonate alvéolaire remplies de billes de Sagex (polystyrène expansé). La combinaison polycarbonate-polystyrène fournit un complexe non seulement très isolant et résistant, mais assure aussi une grande qualité de transmission lumineuse. La couverture de la véranda demeure translucide et transmet un rayonnement de lumière diffuse particulièrement agréable en toute saison. L’atout thermique de Microbilles se révèle pertinent au plus fort de l’été : grâce à leur pouvoir réfléchissant, et en association avec un système d’aération-ventilation adéquat, les plaques permettent de réduire notablement la température intérieure de la véranda (jusqu’à 25°C d’atténuation). La véranda reste très lumineuse, mais sans éblouissement, ce qui apporte un incontestable confort des yeux. En hiver, les plaques Microbilles conservent la chaleur et exploitent les apports solaires par effet de serre (gain de température enre 5 et 15°C). Les plaques polycarbonate incassables 16 mm triple paroi, de même que les plaques 32 mm et 55 mm Thermoclear 3x5 parois, sont traitées anti-UV long Life et bénéficient de la garantie fabricant de dix ans.

Adaptées à la construction de toitures neuves et à la rénovation aisée et rapide de vérandas anciennes, les plaques Microbilles conviennent à merveille pour réaliser de véritables pièces à vivre confortables et très esthétiques.

 

ventilation 

Comme toutes les autres pièces de la maison, la véranda nécessite une aération régulière pour éviter un surcroît d'humidité, une condensation indésirable et éliminer les particules polluantes dues aux activités domestiques. La ventilation est le complément indispensable à la protection solaire de la véranda. Un climat intérieur sain s'obtient par l'association de trois principes fondamentaux : amener de l'air frais et « neuf », évacuer l'air vicié, chaud et humide et protéger l'intérieur de la chaleur du soleil tout en gérant la luminosité.
On remarquera que la majeure partie des bâtiments existants est aérée grâce à des systèmes de ventilation naturelle, alors que les bâtiments neufs disposent presque tous d'une ventilation mécanique.
En prévoyant des ouvrants dans les façades et/ou des ouvertures de toit, on facilitera l'aération naturelle avec l'apport d'air extérieur lorsqu'on occupe la pièce régulièrement. C'est cette aération naturelle qui limite le mieux la pollution intérieure et qui prémunit contre les pathologies de types allergéniques ou les affections pulmonaires. Mais elle doit être complétée par un entretien régulier des filtres des appareils de chauffage et de climatisation utilisés dans la véranda.
En cas de faible utilisation de la pièce ou en cas d'absence prolongée, un système de ventilation mécanique contrôlé (VMC) pourra être installé pour éviter le risque d'effet de serre, apporter un taux d'humidité suffisant et assurer une circulation d'air indispensable. On veillera toutefois à assurer un entretien régulier des gaines d'air de ces systèmes pour qu'ils conservent toute leur efficacité.
L'idéal consiste bien sûr à prévoir les deux formes de ventilation dans le projet de construction, tout en évitant les points froids à l'origine de phénomènes de condensation et en guidant le flux d'air par des entrées basses et des sorties hautes ou par des entrées et sorties latérales permettant une circulation d'air transversale.

 

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